Tout est bien qui finit... mais à la réflexion j'aurais préféré que ce soit sans fin.
De ces centaines de kilomètres, je raconterais peut-être des choses mais pas maintenant. Ca viendra ;)
Le retour est assez bizarre, il y a une voire deux semaines encore, je portais mon sac à dos sur une vingtaine de kilomètres, ne pensant qu'à arriver à l'étape du jour, et puis profiter du reste de cette vie-là quelques heures. L'instant présent, en somme.
Là, retour au confort, voiture, logement fixe et déterminé, des rues et des bâtiments que je connais par coeur, une langue que je maitrise trop bien... versus l'itinérance, la nouveauté, la débrouille, l'approximation et la communication par les gestes quand les mots sont défaillants ou ne suffisent plus.
Une belle expérience, j'espère que j'en connais d'autres comme celle-là dans ma vie.
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Merci.