Accéder au contenu principal

Into the wild, de Sean Penn

Synopsis

Tout juste diplômé de l'université, Christopher McCandless, 22 ans, est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à l'existence confortable et sans surprise qui l'attend, le jeune homme décide de prendre la route en laissant tout derrière lui.
Des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie, Christopher va rencontrer des personnages hauts en couleur. Chacun, à sa manière, va façonner sa vision de la vie et des autres.
Au bout de son voyage, Christopher atteindra son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature.

(Source : Allociné)

Ce film se laisse voir, et on se surprend à ne pas voir le temps passé (2h27), tant est simple la plongée dans le récit de cette aventure.
Tout plaquer, laisser le confort et la vie toute tracée derrière, pour risquer d'en vivre une autre. Croire qu'on peut construire son bonheur, seul... Le jeune Christopher, plein d'illusions, apprendra de ses rencontres à vivre l'instant, à savoir pardonner, à aimer, à partager.
Les images sont magnifiques, la Côte Ouest et les rapides vers le Mexique, le nord, l'Alaska grandiose. Le grand écran sublime ces paysages de rêve, à l'extrême. On aimerait y être, plutôt à 2 que seul(e).
Christopher a réellement existé, n'ayant pas lu le synopsis avant de voir le film, je ne l'ai su qu'à la fin de celui-ci. Du coup, la progression du film se lit autrement, d'autant plus que les faits sont présentés de façon anachronique... mais s'imbriquent pour aboutir à cette fin "attendue".
Un bon film qui nous a bien plu.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

A la recherche de l'indépendance

C'est peut-être l'approche de la quarantaine, les cheveux blancs un peu plus présents, mais tout m'amène à des réflexions sur le futur. Le bonheur dans le travail, je le cherche encore. J'ai toujours mon objectif en tête, apprendre de mon rôle de consultante ce qu'il y a à savoir pour être un vrai caméléon, efficace mais détachée. Alors oui, j'ai plus d'opportunités de changer, de côtoyer de nouveaux univers. Ça en est même perturbant parfois, j'en apprends beaucoup sur ma capacité d'(in)adaptation. Pour le moment, je joue le jeu, mais... c'est décidé, je dois reprendre mon destin en main. J'avais pensé à me mettre en indépendante mais la vérité, c'est que je voudrai ne plus travailler autant. A la recherche de la recette miracle, je suis tombée sur des blogs, des livres prônant l'investissement, la création de rentes... ah, si j'étais riche. Est-ce que je serai heureuse ? Alors je me lance, et quoi de mieux qu'un b

New York, New York

(NDLR : j'avais initialement écrit cet article en décembre 2018, et il était resté dans mes brouillons.  Nous sommes le 11 septembre 2021, 20 ans après les attentats. Toujours cette tristesse et cette incompréhension qui refont surface face à la terreur, l'horreur. Je me souviens, sans doute comme tout le monde, où j'étais quand ça s'est passé, comment j'ai pris connaissance de cet évènement, la sidération devant l'écran de télévision chez mes parents.  New York était dans mes fantasmes de voyage depuis longtemps. Personne dans ma famille ou dans mes connaissances ne l'avait fait. J'avais envie de voir le mythe, comprendre ce qui attirait tant, ce qui en faisait sa renommée. Et malgré ces épisodes tragiques, l'envie était toujours présente, non sans une petite pointe de peur.  La première fois que je suis allée à New York, c'était en septembre 2011 au retour d'un séjour en Caroline du Sud. Je n'avais pu vraiment visiter la ville. Tout

Référendum du 29 mai : j-7

La flemme m'envahit... Plis que 7 jours et 190 pages à parcourir soit (190/7=)27 pages par jour à lire. Encore un challenge à relever. Ca a l'air simple comme ça, mais il ne s'agit pas simplement de lire, il faut assimiler et comprendre clairement les enjeux. Et enfin se faire sa propre opinion pour le vote. Pour une fois que j'ai décidé de prendre ma carte d'électeur, il faut que je l'inaugure de la meilleure façon qui soit. Allez, demain, je commence.