Le changement est notre quotidien depuis quelque mois.
Depuis ce jour où, lasse de ne pas me sentir reconnue en monnaie trébuchante et en missions, affublée d'un réseau déjà bien fait mais avec peu de nouvelles têtes, moins en phase avec la stratégie et les décisions prises, j'ai décidé de partir.
Depuis ce jour où Elle a ressenti l'envie de "faire autre chose, autrement" et de s'extirper de son bureau, de son boulot, rompre avec lui, et repartir de presque zéro.
Depuis ce jour où, avant de partir, j'ai pensé avoir trouvé le bon tremplin, malgré des signes de situation tendue et rude, malgré le contexte économique, et bien obligée d'avancer comme les portes se refermaient derrière moi.
Depuis ce jour où Elle a repris les études, changé ses repères, tenté de comprendre et de s'approprier ce nouveau monde, ces habitudes, ces attitudes.
Depuis ce jour où j'ai commencé une période d'une semaine, puis deux, de semaines en mois à ne strictement rien faire, alors que j'avais soif de plonger dans ce contexte neuf.
Depuis ce jour où Elle a compris qu'il fallait là aussi se méfier des esprits chagrins, jaloux, qui feraient tout pour l'empêcher d'atteindre ses buts.
Depuis ce jour où, malade depuis 3 semaines de ne rien faire, de ne plus arriver à me projeter, de ne pas être à l'aise dans l'organisation qu'on me proposait, je me suis raccrochée à un travail des plus prenants et politiques qui soit, et qu'enfin la boule à l'estomac s'en est allée.
Depuis ce jour où malgré tous les bâtons dans la roue et autres paroles faussement divinatrices, Elle a trouvé quelqu'un qui lui a donné sa chance.
Depuis ce jour où Ses jours sont devenus ses nuits, et l'inverse. Ou je dois occuper mes nuits en attendant nos jours communs.
Et depuis je rêve de ces autres jours, témoins de nos nouvelles pages écrites, de ces évènements déterminants et éphèmères qui les bouleverseront à n'en pas douter.
Depuis ce jour où, lasse de ne pas me sentir reconnue en monnaie trébuchante et en missions, affublée d'un réseau déjà bien fait mais avec peu de nouvelles têtes, moins en phase avec la stratégie et les décisions prises, j'ai décidé de partir.
Depuis ce jour où Elle a ressenti l'envie de "faire autre chose, autrement" et de s'extirper de son bureau, de son boulot, rompre avec lui, et repartir de presque zéro.
Depuis ce jour où, avant de partir, j'ai pensé avoir trouvé le bon tremplin, malgré des signes de situation tendue et rude, malgré le contexte économique, et bien obligée d'avancer comme les portes se refermaient derrière moi.
Depuis ce jour où Elle a repris les études, changé ses repères, tenté de comprendre et de s'approprier ce nouveau monde, ces habitudes, ces attitudes.
Depuis ce jour où j'ai commencé une période d'une semaine, puis deux, de semaines en mois à ne strictement rien faire, alors que j'avais soif de plonger dans ce contexte neuf.
Depuis ce jour où Elle a compris qu'il fallait là aussi se méfier des esprits chagrins, jaloux, qui feraient tout pour l'empêcher d'atteindre ses buts.
Depuis ce jour où, malade depuis 3 semaines de ne rien faire, de ne plus arriver à me projeter, de ne pas être à l'aise dans l'organisation qu'on me proposait, je me suis raccrochée à un travail des plus prenants et politiques qui soit, et qu'enfin la boule à l'estomac s'en est allée.
Depuis ce jour où malgré tous les bâtons dans la roue et autres paroles faussement divinatrices, Elle a trouvé quelqu'un qui lui a donné sa chance.
Depuis ce jour où Ses jours sont devenus ses nuits, et l'inverse. Ou je dois occuper mes nuits en attendant nos jours communs.
Et depuis je rêve de ces autres jours, témoins de nos nouvelles pages écrites, de ces évènements déterminants et éphèmères qui les bouleverseront à n'en pas douter.
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