Précédemment...
Ce que je n'avais pu photographier en mai 95, parce que j'étais dans le bus et qu'il ne s'arrêtait pas, c'était les fameuses maisons de Gaudi. Cette fois, c'était imparable, il fallait que j'y aille.
Direction Passeig de Gracia.
Cette avenue ressemble furieusement à nos Champs-Elysées françaises, mais avec de quoi attirer l'oeil si on lève la tête vers le ciel. Il y a de quoi faire.



Après ça, retour aux Ramblas, remontées en partant du port. Les artistes de rue y foisonnent, entre 2 stands improvisés, les kiosques à loto ou à journaux.


Pour clore la journée, sous un beau soleil comme celui qui m'était offert, rien de mieux que de remplir mon rituel d'anniversaire : aller voir la mer.
Et là, rien qu'un mot : Sitges.
On m'en avait rebattu les oreilles avant que je parte de Paris. Je ne crois que ce que je vois, donc j'y vais.



Sans regrets.
Ce que je n'avais pu photographier en mai 95, parce que j'étais dans le bus et qu'il ne s'arrêtait pas, c'était les fameuses maisons de Gaudi. Cette fois, c'était imparable, il fallait que j'y aille.
Direction Passeig de Gracia.
Cette avenue ressemble furieusement à nos Champs-Elysées françaises, mais avec de quoi attirer l'oeil si on lève la tête vers le ciel. Il y a de quoi faire.
Après ça, retour aux Ramblas, remontées en partant du port. Les artistes de rue y foisonnent, entre 2 stands improvisés, les kiosques à loto ou à journaux.
Pour clore la journée, sous un beau soleil comme celui qui m'était offert, rien de mieux que de remplir mon rituel d'anniversaire : aller voir la mer.
Et là, rien qu'un mot : Sitges.
On m'en avait rebattu les oreilles avant que je parte de Paris. Je ne crois que ce que je vois, donc j'y vais.
Sans regrets.
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