Le symbole est fort, et pour cause. L'histoire des Etats-Unis d'Amérique est faite d'évènements, de contradictions. Un président noir à la tête d'un des pays référents actuels. Une contrée qui semble vivre au fil des pensées, des espoirs, des rêves. La charge sur ses épaules est énorme. Tout le monde l'attend au tournant. A commencer par ses concitoyens, ce qui est plus que légitime. Ensuite, le Monde, mais ça, j'avoue que j'ai du mal à comprendre. La protection autour de lui se fait plus présente. On craint des risques d'attentat avant même qu'il ne prenne possession pleine et entière de son mandat, de ses prérogatives et responsabilités. Une sorte d'amalgame, poussée par l'élan médiatique, se noue autour de lui. Comme si, le simple fait que Barack Hussein Obama soit le 44ème président des Etats-Unis d'Amérique allait régler tous les problèmes que la communauté d'origine africaine a connu, connaissait et connaitra à l'avenir. Non...